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Juste la fin du monde

jean-luc lagarce 
Mise en scène : paul meynieux

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Le 22 août à 15h30

le 24 août à 14h

le 25 août à 15h30

le 29 août à 15h30

le 30 août à 15h30

le 31 août à 15h30
- dans le verger

lecture

Mise en lecture de Paul Meynieux assisté de Juliette Dubloc

 

PERSONNAGES / DISTRIBUTION

LOUIS, 34 ans – Olivier Debbasch

SUZANNE, sa soeur, 23 ans – Juliette Dubloc

ANTOINE, leur frère, 32 ans - Balthazar Monge

CATHERINE, femme d'Antoine, 32 ans - Léa Binsztok

LA MÈRE, mère de Louis, Antoine et Suzanne, 61 ans – Camille Gélin

Technique : Billy Rambaud et Tipy

L’auteur

Jean-Luc Lagarce, né le 14 février 1957 à Héricourt (Haute-Saône) et mort prématurément du SIDA le 30 septembre 1995 à Paris, est un comédien, metteur en scène, directeur de troupe et dramaturge français. C'est, depuis, l'un des auteurs contemporains les plus joués en France. Ses textes sont traduits en vingt-cinq langues et sont joués dans de nombreux pays. Le texte du spectacle est disponible aux éditions des Solitaires intempestifs, dans la collection bleue.

Cela se passe dans la maison de la Mère et de Suzanne, un dimanche, évidemment, ou bien encore durant près d'une année entière.

Nous avons eu envie, pour la sixième édition de notre Festival, de continuer d’ouvrir notre programmation aux écritures contemporaines. Après avoir travaillé sur l'œuvre de Joël Pommerat l’an dernier (Cendrillon), nous avons décidé de nous pencher sur celle de Jean-Luc Lagarce. Jean-Luc Lagarce est devenu au fil des dernières décennies un incontournable, un nouveau classique, à tel point que Juste la fin du monde était encore l’année dernière au programme du baccalauréat. Avec la mission de démocratisation des œuvres que nous nous sommes donnée, il nous paraissait important de faire valoir cet auteur important et de donner à entendre la richesse de ses textes. Juste la fin du monde était l’une de ses pièces que nous aimions le plus. C’est celle qui nous a paru la plus intéressante à mettre en lecture cet été parce qu’elle nous semblait correspondre au mieux à notre troupe, et qu’au-delà de la dimension intime de la pièce, les problématiques qu’elle soulève au sein d’une même famille (le schisme entre ville et campagne, le parisianisme et l’anti-parisianisme, l’homophobie, etc.) nous semblaient être importantes à aborder dans le travail et à faire entendre.

Paul Meynieux

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